Je n’avais pas prévu
– d’adorer toujours autant que ça mon métier après tant d’années de pratique
– d’avoir vraiment envie de le diversifier
– d’être acculée à quitter une partie de mon activité alors que j’adorais ce que je faisais
– de me retrouver sur le carreau, mais pas au chômage, n’exagérons rien
– d’en être mortifiée au point d’avoir du mal à m’en remettre
– de me poser des questions sur quoi faire d’aussi bien
– de chercher du boulot (généralement c’est toujours venu tout seul)
– de m’apercevoir, à mon âge, que je devenais impatiente
– de vouloir le beurre et l’argent du beurre = faire toujours de la clinique, mais faire aussi du management
– de me désoler que ce ne soit pas si simple, étant donné que l’on ne me propose que des trucs à temps plein, ou en province
– de ne pas arriver à prendre de décision
– de savourer le fait de travailler moins
– de détester le corollaire qui va avec : gagner moins
– de me poser des questions sur mon avenir professionnel.
Moi, aussi, en ce moment je ne travaille plus que 20h par mois…et les finances sont en berne.J’ai du temps pour réfléchir et me demander pourquoi ce métier de médecin ne m’a jamais vraiment nourri intérieurement et financièrement…Alors que j’adore la relation humaine et accompagner les personnes vers une meilleure connaissance d’elle-même et de leur corps! Erreur d’aiguillage au départ , je pense. Bon courage pour vos recherches d’un nouveau poste, trés sincèrement.
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